Oui, ça fait bien six mois (ou presque) que je n’ai rien rajouté à ce blog. Oui vous n’êtes pas content. Du coup, j’écoute vos plaintes…
…
Après ce moment intense où je me rappelle soudainement
que personne ne lit ce pauvre petit blog, il est temps de revenir sur le devant
de la scène (et pas de la Seine, bien que cela m’aiderait grandement pour m’échapper
de la prépa) et de parler tout simplement d’une série dont vous n’avez pas fini
d’entendre parler (notez la redondance des termes employés) : Hunter X
Hunter. Mais cette fois c’est la version 2011 qui va nous intéresser. Remarquez
immédiatement le numéro de cette critique et « 2011 », puis comparez avec
ma première critique : coïncidence ? Je ne crois pas.
I. Pourquoi 2011 ?
Tout simplement parce que j’ai déjà parlé de la série
fin des années 90 et du malheureux film Phantom Rouge (honte à toi, film). Et
pourquoi pas l’autre film, The Last Mission ? Parce qu’il a l’air bien
chiant, malgré l’introduction d’un de mes personnages préférés : Netero.
Oui oui, le vieux bizarre là. Ne me jugez pas.
Ce vieux bonhomme a de quoi vous surprendre... |
Je vous avais dit (mais vous ne m’écoutez pas) que la
série de 2011 avait l’air intéressante, et qu’elle rajoutait l’arc des Chimera
Ant ainsi que le dernier arc de la série écrite ai-je appris récemment
(bouge-toi Yoshihiro Togashi !). Du coup, après cette introduction
chiante, il faut voir ce qu’on a.
II. Pourquoi maintenant ?
J’ai vu la série en avril 2014 en fait, pendant le
tristement célèbre concours de l’Ecole Normale Supérieure (une grande rigolade)
et… J’avais la flemme d’en parler !
III. Pourquoi faire de grands titres inutiles si
c’est pour mettre deux lignes écrites dedans ?
Parce que c’est comme ça.
Mais enfin, donc, la série, oui. Vous noterez que le
style graphique est légèrement plus chatoyant et coloré que dans la série
originelle, les personnages un peu plus « enfant » dans leur style
(principaux j’entends). Pourtant, on s’y fait très vite, et la série a comme
qualité (mais en est-ce vraiment une ?) de mettre à l’écran très
fidèlement le manga. Fini les hors-séries (alors que dans Naruto/Bleach/One
Piece…) et place au manga !
Oh, des personnages que vous ne connaissez pas ! |
Vous savez que j’aime les personnages, les combats, l’histoire
de ce manga. Vous comprenez maintenant pourquoi j’aime aussi cette série. D’autant
plus que les musiques sont loin de démériter, mêlant musique symphonique et
rock (oui oui, c’est possible), voire musique d’ambiance angoissante pour la
dernière moitié de la série. Tous les styles sont représentés, convoyant toutes
les émotions et je dois dire que c’est très réussi (la musique a une grande
importance pour moi).
Et et et : on a les deux arcs qui manquaient !
Le deuxième je ne l’ai pas regardé, mais l’arc sur les Chimera Ant est extrêmement
bien adapté. Le côté un peu glauque, l’évolution des personnages qui prend un
caractère parfois dramatique, les combats qui deviennent épiques (Netero = mon
dieu), tout ce qu’on retrouvait dans le manga est maintenant à l’écran. C’est
très réussi. Mais le reste aussi est très réussi. Pour la 15e fois
au moins, je redécouvrais la série avec plaisir. Même que j’ai regardé la série
2011 une deuxième fois, dans mon égarement !
Il a l'air sympa vous ne trouvez pas ? |
Conclusion
Si vous voulez intéresser un ami/une amie/votre chat
dans les animés japonais, je vous conseille de vous pencher sur cette version
là d’Hunter X Hunter 2011. Aucune longueur, une très bonne musique, des
changements de rythme et d’ambiance entre les arcs, une histoire et des combats
intéressants, la place du dialogue, rien que du bon qui peut intéresser petits
et grands (non je n’ai pas d’actions Togashi). Cette série est bien mieux que
la plupart des shonen actuels, entre les niaiseries étalées sur des centaines d’épisodes
de One Piece (les événements-clés sont noyés dans une masse d’épisodes
indigestes) et la bêtise de Naruto (ce personnage m’agace).
Quelques musiques :
So, try it ! Vous ne regretterez (normalement,
après tous les goûts sont dans la nature, vous avez le droit d'aimer n'importe quoi, ah ah) pas.
Et oui, je vous donne des ordres.
Mais passons. A la prochaine !
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