Tour 19 et 20
On s'en fout ! |
Tous les mercenaires ont accepté de me prêter allégeance. Parfait, ils vont pouvoir me servir de première ligne.
Je rigole de moins en moins... |
J'ai préparé toutes mes troupes pour qu'elles soient les plus efficaces possibles. Je n'ai pas assez de magie mais bon... Les troupes mercenaires attireront les tirs et les charges ennemies, qui seront redirigées derrière sur une masse de mort-vivants. Et arriveront mes guerriers Bandars et mes troupes sacrées. Une stratégie d'épuisement de l'adversaire avec mes 200 troupes. Je rappelle que mon but est de faire le plus de dégâts possibles. Et comme la moitié de mon armée m'a coûtée moins de 150 pièces d'or...
Mon adversaire a vu ça et s'est demandé comment j'avais fait... S'il savait ! |
Au tour suivant, la province du trône a été prise très facilement et je me retrouve face à une colossale armée de géants. Eric a la foi, mais même Lord Lankada commence à douter.
Avant toute chose, il convient de dire à tous ceux qui me lisent la chose suivante : la configuration de la partie n'est pas bonne. Ses unités sont globalement grandes et résistantes pour un prix proche du prix de mes sacrés et sont donc assez difficiles à vaincre. Et surtout, il a de l'or. Beaucoup. Cette carte compte en fait des provinces sous-peuplées. Même la ferme à l'ouest de ma capitale contient seulement 9 000 habitants. Du coup, non seulement mes recherches d'esclaves du sang sont ralenties, mais en plus ça tue de la population et mon income se casse la tronche. Vous comprenez que mon assaut est en fait une tentative de prendre soudainement l'avantage. Le problème, c'est que mes Ganas sont un tour en retard. Tant pis, c'est trop tard désormais...
Un paquet de troupes |
"Cher Nief-Nief,
Je vous donne l'occasion de rencontrer mon prophète, Eric, maintenant, sur la province du trône qui m'appartient désormais.
J'ai eu en effet le plaisir d'avoir reçu une de vos invitations, aussi ai-je cru bon de ramener quelques-uns de mes amis...
Aussi proposé-je de nous rencontrer, maintenant, à cet endroit.
Seulement, viendrez-vous, là est la question brûlante d'un peuple aussi froid que la terre dans laquelle je vais vous enterrez.
Très cordialement, Lanka."
Je vous donne l'occasion de rencontrer mon prophète, Eric, maintenant, sur la province du trône qui m'appartient désormais.
J'ai eu en effet le plaisir d'avoir reçu une de vos invitations, aussi ai-je cru bon de ramener quelques-uns de mes amis...
Aussi proposé-je de nous rencontrer, maintenant, à cet endroit.
Seulement, viendrez-vous, là est la question brûlante d'un peuple aussi froid que la terre dans laquelle je vais vous enterrez.
Très cordialement, Lanka."
Il a répondu à mon invitation et s'apprête à lancer ses troupes contre les miennes...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire